Mon cher mari de Ramena Buzarovska

L’autrice née en Macédoine pimente notre rentrée avec beaucoup de sarcasme, d’ironie autour de ces nouvelles caustiques et désopilantes sur les relations familiales et maritales. Elle marque son époque avec un réalisme terrifiant, les rapports de pouvoirs entre dominants et dominés. Chaque lecteur pourra y retrouver un écho, avec un sourire en coin tant l’auteur est décapante, tragique, féministe et drôle. Une lecture sur le jeu de l’amour et du mariage

Edition Gallimard (08.09.22)

Née en 1981 à Skopje, Rumena Bužarovska appartient à la nouvelle génération d’écrivains macédoniens.

Elle enseigne la littérature américaine à la Faculté de philologie de Skopje. Elle est l’auteure de quatre recueils de nouvelles: Griffonnages (Čkrtki, éd. Ili-Ili, 2007), Dent de sagesse (Osmica, éd. Blesok, 2010), Mon mari (Mojot maž, éd. Blesok 2014, 2ème édition : Ili-Ili, 2015), Je vais nulle part (Ne odam nikade, ed. Ili Ili, 2018) ainsi que d’une étude sur l’humour dans la littérature américaine et macédonienne à travers le prisme de la nouvelle (éd. Blesok, 2012).
Elle est traduite en anglais, en allemand, en serbe, en croate, en bulgare, en slovène, en italien, en albanais…

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