Après Lettre à Nour, Voyage au bout de l’enfance, petit recueil mêlant sensibilité et cruauté, parle de la génération sacrifiée au prix d’une guerre menée par des monstres dépourvus de toute trace d’humanité.
Myriam née Rabinovitch a reçu en 2003 une étrange carte postale représentant l’Opéra de Paris. Son émetteur est anonyme. Au verso sont inscrits les noms de ses parents, de son oncle et de sa tante, assassinés à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, sa fille et sa petite fille décident de remonter le temps et de plonger dans l’histoire de cette famille juive originaire de Moscou qui, après être passée par la Lettonie et la Palestine, avait choisi d’aller vivre à Paris.
Inspirée par la figure de son grand-père maternel, qui a lutté pour préserver les droits de son peuple, Louise Erdrich nous entraîne dans une aventure humaine peuplée de personnages inoubliables.
Après La Famille Martin, David Foenkinos revient avec Numéro Deux, qui retrace le parcours de Martin Hill, celui qui n’a pas été choisi pour incarner Harry Potter sur le grand écran.
Martin Hill est âgé d’une dizaine d’années et vit avec son père, accessoiriste, en Angleterre. Un jour qu’il accompagne ce dernier sur un tournage, Martin est repéré par le producteur d’Harry Potter, alors à la recherche d’un jeune anglais pour prêter ses traits au futur célèbre sorcier à lunettes.
À Misto, petite bourgade de Croatie, ville de pêcheurs tranquille, un soir de septembre 1989, Silva, jeune adolescente, disparaît. À l’ouverture de l’enquête, toute la ville est affectée, des secrets vont être dévoilés. L’effrontée Silva était-elle impliquée dans du trafic de drogue ? Son petit ami a-t-il appris qu’elle le trompait ? Puis… un témoignage inattendu laisse supposer que Silva a quitté d’elle-même Misto.