Ouvrez les portes du monde grâce à une sélection d’œuvres venues d’ailleurs. Romans traduits, récits de voyage, classiques et nouvelles voix : la littérature étrangère vous invite à explorer d’autres cultures, d’autres langues, d’autres façons de raconter l’humain.
Des États-Unis au Japon, de la Norvège à l’Argentine, chaque livre est une passerelle entre les mondes, un miroir où l’on se reconnaît autant qu’on se découvre.
[Poche]
Au fin fond de la Hongrie rurale, une ferme collective est en train de péricliter. Les habitants sont perdus, mornes, inquiets, et rêvent d’un impossible échappatoire. Quitte à trahir son plus proche voisin. Un matin, deux anciens habitants reviennent, avec eux renaît l’espoir de partir pour un ailleurs meilleur… mais peut-on leur faire confiance ?
Euridice pourrait être une femme comme les autres, mariée, mère de deux enfants, parfaite ménagère, vivant dans un quartier brésilien résidentiel cossu, femme au foyer sans problème. Sauf qu’Euridice s’ennuie vite, que sa petite existence bien tranquille ne lui suffit pas, qu’elle a un flot d’énergie en elle qui ne demande qu’à s’exprimer.
Un père et ses deux filles (entre 15 et 17 ans) vivent au cœur de la forêt en Caroline du Nord. Ils sont isolés du reste du monde. Le livre commence le jour de Noël, comme un journal intime écrit par Nell. Et tout de suite, on sait, ça ne va pas.
Gabacho, avant tout, c’est une langue qui frappe, qui surprend, désarçonne, fait rouler dans la poussière, et se relever les poings dressés, prêt à prendre des coups.
Haletant. Saccadé. Une respiration tendue.
C’est toute la vie de Liborio qui surgit dans ces lignes. Lui, le narrateur. Un immigré clandestin. Un mexicain qui a franchit la frontière dans une rage de vivre, de survivre, qui ne le quitte jamais, et qui se retrouve dans une ville obscure des États-Unis, probablement en transition, en tout cas en quête d’une nouvelle vie.
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