Suspense, crimes, enquêtes : le polar vous tient en haleine à chaque page. Des ruelles sombres aux énigmes brillamment construites, laissez-vous embarquer dans des intrigues où rien n’est laissé au hasard.
Thrillers psychologiques, polars noirs, cosy crimes ou détectives hors-normes : à vous de mener l’enquête.
			 
			
										
							
							
								
								
	
		
			
	
		
					
				
					
				
									Erica est dépassée, bouffée, abattue par une existence qui alourdit chacun de ses pas : son mari décédé d’un terrible cancer, sa mère décédée après une chute où elle s’est brisée la hanche et s’est doucement laissée mourir à l’hôpital, son fils parti depuis plusieurs années et qui ne donne aucune nouvelle, n’est même pas venu aux enterrements, et maintenant son père, qui
atteint un âge où il doit porter des couches, être soutenu pour marcher, et qui se révèle tyrannique – à dévorer les dernières miettes d’énergie d’Erica.
Erica qui oublie de manger, dort peu, a une mine terrifiante. Mais continue. Chaque jour, à se lever, aller travailler, s’occuper de son père, joindre les deux bouts du mieux qu’elle peut.
Puis, son fils, Jimmy, réapparaît dans sa vie. Le jeune homme, homosexuel, ne trouve sa place nulle part, est alcoolique et taciturne.
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									Aoste.
Le sous-préfet Rocco Schiavone se réveille dans un appartement qui n’est pas le sien. Et déjà, ça le met en rogne. Tout comme cette toute petite ville où il a été transféré depuis 9 mois. Lui, le Romain, est puni (on doit savoir le pourquoi du comment dans les précédents livres, mais je ne les ai pas lus), et vit sa routine dans cette petite ville froide et humide.
Une enquête lui tombe dessus : disparition d’une ado de 18 ans, fille de riches entrepreneurs. Tout de suite, il sent le truc louche, l’imbroglio pas net. 
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									De livre en livre, Sandrine Collette s’écarte du thriller pour aller de plus en plus dans le roman noir. Elle creuse les atmosphères, creuse ses personnages, creuse dans les émotions du lecteur.
Ici, d’abord, on suit Moe. Elle a quitté Papeete pour suivre un homme, elle rêvait d’un destin non tracé, de Paris, d’émancipation. Mais Rodolphe l’enterre dans une maison du fin fond de la province, la bat quand il est trop saoul…
Lorsqu’enfin elle s’enfuit, c’est presque impulsivement.
Très vite c’est la rue.
Puis La Casse, un lieu où ceux qui n’ont plus rien se retrouvent enfermés, isolés, à dormir dans des épaves et à survivre sans grand espoir d’en sortir un jour.
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									Iris, photographe de scènes de crime (sens du détail, du gros plan sur des éléments, que l’on retrouve dans le style du roman), retourne dans son ancienne ville, la maison de son enfance, par un lourd concours de circonstances.
Et là, c’est tout le passé qui ressurgit petit à petit (sa mère violente, son fils assassiné, son père décédé) et qui la hante au point de la noyer.
Avancée lente et prudente pour s’en sortir. Échapper à tout ça. Vaincre ses démons.
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									Un homme, un Français, revient en Australie. Le cœur lourd, le pied pesant, la chaleur l’écrase, il erre, il tourne autour de son but. Le passé qui l’emprisonne, il pense s’en libérer ici. Sur les traces de son enfance.
Mais les choses ne vont pas tout à fait se passer comme prévues. Un tsunami transforme le monde en boue, bouleverse les rapports, révèle les secrets enterrés.
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