Dédicace le mercredi 20 mai, 18h.
Après l’abolition de l’esclavage en 1848, les Antilles et la Guyane manquent de main d’œuvre.
Pour pallier à cette pénurie, les autorités françaises mettent en place un procédé proche de la traite négrière : le « rachat » de captifs sur les côtes africaines.
Céline Flory décrit dans le détail l’organisation de cette migration forcée, qui durera jusqu’en 1962.