On le voyait venir, à force d’écrire des livres noirs, très noirs, avec des personnages franchement pas la crème de la gentillesse… Voilà, Sandrine Collette l’a fait : elle a mis fin à l’humanité.
Corentin, le gamin mal aimé, abandonné, puis choyé par son arrière grand-mère, la vieille Augustine, va avoir l’espoir d’une nouvelle vie pleine de lumières et d’ami.e.s, lorsqu’une vague de chaleur décime l’humanité et la nature. Corentin, au « frais » dans les catacombes, survit. Il ne reste rien. Quelques personnes hagardes se dispersent dans la ville noircie et fondue.
Corentin va faire son seul choix possible : retourner aux Forêts. Là où la vie était rude, simple, cloisonnée. Là où Augustine l’a élevé et aimé. Là où il trouvera refuge.
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Un père et ses deux filles (entre 15 et 17 ans) vivent au cœur de la forêt en Caroline du Nord. Ils sont isolés du reste du monde. Le livre commence le jour de Noël, comme un journal intime écrit par Nell. Et tout de suite, on sait, ça ne va pas.
Il n’y a plus d’électricité, plus d’avion, le monde est en phase post-apo. La mère est morte, le père également. Elles sont seules dans cette maison, et elles vont apprendre à survivre.
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[Rentrée littéraire 2016]
Le roman s’ouvre sur le décès sur scène d’un célèbre comédien interprétant Le Roi Lear. Comme le Signe avant coureur de l’effondrement de la civilisation, le point névralgique de la tempête.
Le monde tel qu’on le connaît n’existe plus. Une terrible épidémie a décimé la plupart des humains, ceux qui restent vivent, ou plutôt survivent, dans une grande précarité. Sans eau courante, sans électricité, sans véhicule… un retour brutal à un temps sans technologie.
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