Peau d’ourse, Grégory Le Floch
Mont Perdu est une adolescente grosse, laide et lesbienne.
Mont Perdu est une adolescente grosse, laide et lesbienne.
Vienne, capitale de l’Empire cosmopolite Austro-Hongrois est le lieu idéal pour se prêter à ce genre d’histoire.
Ouvrir ce livre, c’est entrer de plain-pied, dès les premières lignes dans une écriture à fleur de peau. Christine Pawlowska est l’autrice d’un seul livre, publié initialement en 1974, loué par la presse et se classant parmi les meilleures ventes, puis tombé peu à peu dans l’oubli.
C’est une rencontre par hasard, une rencontre avec un livre, avec une voix. Un peu planqué dans une bibliothèque, Pierre Boisson attrape cet ouvrage, intrigué. Une couverture rouge, un titre percutant “Ecarlate”, un texte court et une autrice inconnue, dont la biographie ne dit quasiment rien. Si tous les ingrédients étaient réunis pour que l’auteur ouvre ce livre, il ne s’attendait pas à l’impact qu’aurait sa lecture, et jusqu’où celle-ci allait le mener.
Un roman nostalgique sur les ambitions et les amours de la jeunesse qui nous questionne sur la définition du bonheur.