Après Une Soupe à la grenade, on retrouve les trois sœurs Marjan, Layla et Bahar Aminpour sur la côte ouest du comté de Mayo en Irlande, au Babylon Café. On suit leur quotidien chaleureux de ces sœurs bienveillantes, qui par leur savoir-faire, partagent leur culture avec passion. Les parfums de la cuisine persane (dont certaines recettes sont proposées à la fin du livre) font voyager.
Dans la petite ville de Cobb arrive un grand homme émacié, tout de noir vêtu. Agressif, prétentieux, son tour des boutiques et des brasseries ne laisse personne indifférent. Mais lorsque tous et toutes comprennent qu’il s’agit du nouveau chef embauché par l’une des deux familles prestigieuses du comté, un potentiel gros client donc, ils et elles vont se mettre en quatre pour répondre à ses besoins et désirs.
Dans une petite bourgade d’Irlande où les jours sont rythmés par la pluie, les activités religieuses, les sorties au pub et les commérages, une vieille pâtisserie italienne est fermée depuis le décès du patron. Mais un jour, une lumière filtre à travers les volets clos, et surtout, des odeurs étranges, inconnues, exotiques, flottent tout autour. Trois sœurs iraniennes ont repris l’affaire, bien décidées à apporter les saveurs de leur cuisine à leur nouveau voisinage, bien décidées à démarrer une nouvelle vie.
Car les trois sœurs ont un passé violent et plein de secrets qu’elles espèrent avoir laissé dans l’Iran du Shah.
Seulement, si certain.es sont tout de suite attiré.es par la délicate cuisine persane, d’autres voient d’un très mauvais œil leur emménagement.
Mais personne ne sera indifférent.e à leur présence, d’autant plus que leurs rouleaux de dolmas à l’aneth ou leurs baklavas fondants, semblent avoir le pouvoir de réveiller les papilles et les rêves enfouis.
Euridice pourrait être une femme comme les autres, mariée, mère de deux enfants, parfaite ménagère, vivant dans un quartier brésilien résidentiel cossu, femme au foyer sans problème. Sauf qu’Euridice s’ennuie vite, que sa petite existence bien tranquille ne lui suffit pas, qu’elle a un flot d’énergie en elle qui ne demande qu’à s’exprimer.