Un manga doux-amer, où l’enfance laisse place à l’adolescence…
En rentrant au collège, voici venu le temps de grandir et d’abandonner les jeux d’enfants. Les camarades de Mizutani l’ont bien compris et chaque jour la sépare un peu plus d’eux. Le dimanche, l’appréhension de la semaine suivante grandit en son cœur. Un jour, elle croise Tsukino, un garçon discret aux yeux dont « la clarté dépasse tout ce qui existe en ce monde ». Dès lors, l’univers si gris autour d’elle reprend des couleurs et c’est le sourire aux lèvres qu’ils se promettent de se retrouver tous les lundis soirs, en secret, dans la cour du collège.
Naples 1946. Les enfants de la guerre vivent de petits riens, de chaussures trouées et de quelques trésors cachés dans des boites rouillées. Le destin d’Amerigo Speranza va changer.…
Turtle a 6 ans lorsqu’elle est témoin d’un accident insolite près d’un barrage. Avec sa mère, elles sauvent un homme… et deviennent des stars. Fuyant cette soudaine célébrité, elles prennent de nouveau la route. Passé et futur s’entrecroisent, avec l’histoire cherokee de Turtle et des Etats-Unis. La suite de L’arbre aux Haricots ! Poétique et réaliste à la fois. Des formes de phrases autour desquels on s’emberlificote l’esprit, un petit sourire aux coins des lèvres. Parfois une petite larme. Parce qu’il est foncièrement plus triste ce Cochons au Paradis par rapport à L’arbre aux haricots. La pauvreté, les traumatismes de l’enfance qui remontent, la trahison, la séparation, la lutte toujours encore et encore. Sans grand espoir.