Meg vit dans un quartier résidentiel cossu, et calme. Elle y mène une vie tranquille avec mari et enfant. Trop tranquille peut-être... une vie où l'ennui peut rapidement prendre trop de place... surtout quand, la nuit, un cri de femme se fait entendre. Un cri comme un hurlement à la lune. Comme une angoisse au cœur de la perfection.
Meg va, en quelque sorte, enquêter sur son quartier...
La vie quotidienne d'une ferme d'élevage française vue et racontée par les animaux. Un angle particulier qui déplace le regard sur l'existence en monde rural.
Dans Corps de ferme, ce sont donc les animaux les narrateurs : la vache laitière, les cochons, le chat, la chienne de chasse, et une pie. À travers leurs visions, leurs sensibilités, nous allons découvrir la vie au sein de cette ferme d'élevage. Un lieu clos, où les mots s'échangent peu, où l'on tait les sentiments. Il faut vivre, voir survivre, une vie rude.
Neuf personnes reçoivent par courrier une liste de neuf noms - dont le leur. Ces personnes ne se connaissent pas, ne vivent pas dans le même coin des États-Unis, et ne semblent n'avoir rien en commun.
Le roman commence avec une construction d'un chapitre par personnage, découvrant la lettre. Le neuvième est assassiné, la liste à la main.
Dakota du Nord. Petite ville, Argus. Une famille écartelée qu’on suit sur 40 ans.
Ça commence ainsi : une femme, deux enfants. Elle vit dans le luxe que lui apporte son amant (père des enfants), jusqu’au jour où il meurt (étouffé au blé). Ils se retrouvent sans argent. Très vite, c’est la misère.
Un jour, à une foire, les trois enfants (entre temps un bébé est né), voient leur mère grimper dans l’avion d’un cascadeur aérien, et disparaître dans le ciel pour ne jamais revenir.
Les enfants, mode Hobo, grimpent dans un train de marchandises pour rejoindre Argus, ville où vit leur tante.
Mais le garçon, Karl, en chemin, prend la branche d’un arbre qu’il casse, et s’enfuit.
De là, des vies se construisent, se bousculent, se contaminent, s’influencent, se croisent et se décroisent.
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