Les gens de Bilbao naissent où ils veulent, Maria Larrea
"On ne se souvient pas du moment de sa naissance. Je ne me souviens pas de la mienne, de naissance". C'est sur ces deux phrases que commence l'histoire de Maria, notre narratrice.
Au fil de nos lectures, nous vous faisons partager nos coups de cœurs. A travers nos avis, que ce soit en romans, en bd, en jeunesse, en policiers… nous espérons susciter votre curiosité et votre envie.
"On ne se souvient pas du moment de sa naissance. Je ne me souviens pas de la mienne, de naissance". C'est sur ces deux phrases que commence l'histoire de Maria, notre narratrice.
Pour son second roman, deux ans après "L'Unique goutte de sang", Arnaud Rozan poursuit ses recherches sur l'histoire des noirs américains. Il présente et explore les maisons blanches de l'histoire, du Ghana à Pennsylvania Avenue, en passant le Marais de Fort Prinzensyein, ou encore Willard Hotel à deux pas de la maison blanche où Martin Luther King a écrit son discours.
Un couple mixte (une allemande, Clara et un japonais, Rinichiro) sont amenés par une personne du futur dans le monde tel qu'il sera au XLe siècle : EHS est un monde où les asiatiques servent de meubles, d'animaux, d'accessoires, des mères porteuses ; les noirs sont des esclaves, des serviteurs ; les blancs sont des nobles, des dieux. A partir de là Shozo Numa construit son œuvre comme la description d'un univers SM poussé à son paroxysme.
Un couple part sur les routes avec leur van, pour leurs grandes vacances d'été. En chemin, ils comptent bien trouver quelques personnes à assassiner. Mais alors qu'ils se pensaient isolés, une jeune fille les voit commettre un meurtre et parvient à s'enfuir dans la forêt. Tentants de partir le plus loin possible, le couple reprend la route, et s'enfonce dans également dans Bois-aux-Renards.
C'est l'histoire de Rachel, jeune comédienne en quête de célébrité, contrariée par la réalité de son métier, et de son père, peintre et atteint de la maladie d'Alzheimer. Ce dernier vit de doux rêves de peinture. Avec beaucoup d'humour et de douceur, il mélange réalité et fiction. Il est d'ailleurs convaincu que des japonais viendront acheter sa toile à un prix inestimable ou encore que John Mac Conroe, ancien tennisman et galeriste, lui vendra ses œuvres.